Pourquoi la peur du Covid surpasse toutes les peurs alors que les risques de mourir de multiples autres causes sont beaucoup plus grands : cancer, maladies cardiovasculaires, alcool, pollution chimique ?…
Les gouvernants, les instances de santé et les grands media se sont ligués pour nous instiller la peur et attiser la panique générale. Néanmoins, lorsque nous regardons les chiffres calmement et avec un esprit un peu rationnel, nous constatons que le taux de mortalité est relativement limité.
Par contre, bien d’autres dangers nous guettent, infiniment plus graves, pour lesquels les responsables de la santé sont muets alors que ces risques pourraient être contrôlés avec des mesures de prévention. J’ai déjà fait remarquer que la prévention ne rapporte rien à personne alors que bien des maladies, et le covid en particulier, font saliver nombre d’industriels et de professionnels de la santé !
Les chiffres du Covid-19
Les ondes sont saturées d’informations alarmistes et d’injonctions à rester chez soi tant est grand le danger d’être foudroyés par ce satané virus. On nous distille régulièrement des chiffres, avec moultes commentaires, le nombre de nouveaux cas ici et là et on nous abreuve de mises en garde sur l’arrivée imminente d’une nouvelle vague déferlante susceptible de nous emporter tous.
Dans la réalité, les choses sont plus nuancées. Jusqu’à présent, si je prends l’exemple de la France où la panique des gouvernants frise l’hystérie, le nombre de décès atteint le chiffre de 31.500 patients dont 75% avaient plus de 75 ans. Rappelons qu’en année ordinaire, on compte en moyenne annuelle 38.000 morts de maladies respiratoires, ce qui est du même ordre de grandeur.
Il est important de préciser que les patients décédés avaient très majoritairement une comorbidité qui a aggravé leur état et que les deux tiers des décès ont eu lieu, non pas à l’hôpital, mais dans les maisons de retraites médicalisées !
Les tests de dépistage de l’infection se comptent aujourd’hui par millions et il est donc normal que l’on trouve plus de positifs dont la très grande majorité sont asymptomatiques. Le taux de diffusion de l’infection est encore faible et serait de l’ordre de 3,5% de la population.
Ce dernier chiffre doit inciter à la prudence car on peut imaginer qu’un taux de diffusion qui atteindrait 35% pourrait théoriquement générer un taux de mortalité 10 fois plus grand qu’actuellement ! Mais prudence ne signifie pas panique…
Les autres maladies plus dangereuses
Le paradoxe réside dans le tintamarre médiatico-politique autour du Covid-19 et le silence prudent sur des chiffres autrement plus vertigineux et alarmants.
Depuis 30 ans le nombre de cas de cancers augmente régulièrement sans émouvoir beaucoup les responsables de la santé. L’année dernière, on a dénombré en France 382.000 nouveaux cas, tous cancers confondus. 1,2 million de patients cancéreux furent hospitalisés et 157.000 décédèrent !
Ce sont des chiffres qui se répètent, année après année, alors que l’on sait que les trois quarts des cancers pourraient être évités. La pollution chimique est en effet responsable de bien de nos maux sans que personne ne bronche !
On continue à déverser sur les cultures vivrières quantité de substances connues pour leurs effets cancérigènes et de perturbations hormonales. Notre environnement est pollué depuis l’air que l’on respire jusqu’à l’eau que l’on boit, mais il n’existe aucun plan sérieux pour en diminuer drastiquement l’usage. A titre d’exemple, Il est estimé qu’il meurt chaque année en France de l’ordre de 60.000 personnes à cause des seules particules fines en suspension dans l’atmosphère !
Les folies de l’humanité
Nous pouvons faire le même constat pour les maladies cardiovasculaires qui sont à l’origine de 140.000 décès par an. Nombre de ces décès pourraient être évités car ils sont provoqués par une mauvaise hygiène de vie et une alimentation déséquilibrée.
Si l’on avait dépensé le centième de ce que coûte à l’économie les folles dépenses du covid, nous aurions pu assainir notre environnement, favoriser les cultures bios et réaliser des campagnes massives d’information et de prévention, et ainsi diviser par trois le nombre de décès par cancer et maladies cardiovasculaires, avec en prime une bien moindre incidence de la maladie d’Alzheimer qui concerne 900.000 patients en France et devrait compter le double en 2050…
Chaque jour on apprend les méfaits des produits chimiques sur la santé. Les composés perfluorés, cancérigènes et perturbateurs endocriniens, sont utilisés comme imperméabilisants et comme revêtements dans les ustensiles de cuisine, les néonicotinoïdes sont des insecticides puissants et neurotoxiques, en particulier chez les enfants. Les pesticides organofluorés cancérigènes, les résidus des antidépresseurs ou des pilules contraceptives se retrouvent dans les eaux et perturbent la reproduction des poissons, les antibiotiques s’accumulent dans les stations d’épuration et génèrent des bactéries résistantes…
Faut-il ajouter que l’alcool, le tabac et la drogue sont responsables de 130.000 décès par an en France ?
La liste est longue de la folie de l’humanité pour se rendre malade, sans compter le réchauffement climatique dont on parle beaucoup mais contre lequel on fait peu. De nouvelles pathologies surviennent, le nombre d’autistes et d’enfants hyperactifs explose, les maladies auto-immunes sont de plus en plus fréquentes… Le covid, au milieu de cette hécatombe, n’est pas grand-chose et parait bien anodin. Alors, pourquoi tout ce tapage ?
Mais, comme toujours, la prévention ne rapporte rien à personne ! La bonne santé ne génère pas d’argent ! Qui va payer une campagne d’information pour nous expliquer comment renforcer notre système immunitaire pour ne pas être infecté par un mauvais virus ? Il est vrai que seule la maladie que l’on soigne fait augmenter le PIB ! Et pourtant la sécurité sociale pourrait faire bien des économies en finançant la prévention. Mais qui se soucie de faire des économies dans un monde devenu fou?
Qui saura m’expliquer pourquoi la peur du covid a supplanté toutes les peurs et semble constituer aujourd’hui le danger numéro 1 ? Quel ressort psychologique est à l’œuvre ? Avons-nous, dans nos gènes, le souvenir des pandémies ancestrales qui ont pu jadis décimer les populations, comme nous avons la peur innée des serpents ? Les discours sur le covid ont perdu toute rationalité, il ne sont qu’émotionnels et les dangers sont amplifiés dans notre imaginaire, comme chez un enfant qui a peur des fantômes…
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Pourquoi cette peur organisée ? Tout simplement pour imposer plus facilement le vaccin. Mais un vaccin particulier qui sera donné pour des raisons politiques et non de santé.
Autrement pourquoi donc par exemple le Dr. Heiko Schöning a-t-il été arrêté à Hyde park le 26 septembre 2020 ?
https://twitter.com/BreesAnna/status/1309928706002083840
Ici il présente un groupe de plus de 1000 médecins pour dire que cette épidémie n’est pas naturelle !
Très intéressant site sur les principaux sujets tournant autour de ce covid-19 :
https://effondrements.wordpress.com/2012/05/16/complot-mondial-contre-la-sante/comment-page-2/#comment-103088