Il existe deux sortes de citoyens ! D’un côté, les consensuels, les conventionnels, les légalistes qui sont bien intégrés dans la société, qui font confiance aux autorités et suivent les directives. De l’autre, les rebelles, les méfiants, les incrédules, les empêcheurs de penser en rond, qui doutent de tout et qui critiquent facilement les consignes données.
Le premier groupe semble majoritaire et suit docilement les consignes. Ils pensent que les media et les gouvernements traduisent fidèlement la réalité. Ils ne croient pas à la manipulation des foules et ils se sentent libres et bien informés. Ils sont de leur époque et en épousent toutes les caractéristiques. Bref, ce sont de bons citoyens, fidèles, et sur lesquels on peut compter…
Le deuxième groupe est moins fiable, toujours soupçonneux et critique. Ils aiment la controverse et refusent d’avaler tout cru les discours de la pensée dominante. Ils prétendent penser par eux-mêmes et veulent prendre de la distance par rapport aux idéologies à la mode. Ils contestent fréquemment les mots d’ordre et disent qu’ils veulent comprendre le bien-fondé des directives. Ils n’aiment pas s’agglutiner aux groupes et veulent garder leur liberté de pensée. Ce sont souvent des réfractaires, difficiles à gouverner, et peu fiables car leurs pensées et opinions sont mouvantes.
L’actualité a montré cette dichotomie
Je ne saurais dire quel est le groupe qui a raison. Ces deux attitudes opposées ont chacune leurs avantages et leurs inconvénients. En fait, chacun a son caractère propre qui le fait pencher vers l’un ou l’autre…
Les uns, sous le couvert de la légitimité, ont le mérite de la bonne conscience. Les autres, en cultivant l’esprit critique, parfois jusqu’à l’outrance, courent le risque d’être accusés de complotismes, le nouveau mot à la mode inventé par les adeptes du premier groupe !
C’est sur cette ligne de crête que je cherche à me situer, à mi-chemin entre l’esprit moutonnier et la mise en cause systématique de la parole des autorités…
La période actuelle a accentué, plus que jamais, cette dichotomie. Selon ce schéma, il y a ceux qui croient, dur comme fer et les yeux fermés, la parole des autorités et des media au sujet de l’épidémie en cours, de son origine, de sa gravité réelle, des moyens de lutte et bien entendu du bien-fondé de la vaccination.
Cette confiance aveugle a quelque chose de reposant : pas besoin de se poser des questions inutiles, pas d’hésitation à avoir, il suffit de se laisser porter par les mots d’ordre… Hélas, cette attitude fut portée à son paroxysme par certaines autorités et certains media qui ont abusé de leurs pouvoirs pour censurer et faire taire les sceptiques.
Ceux qui doutent ou qui critiquent sont désormais boycottés par les media, leurs comptes sur les réseaux sociaux sont fermés de façon arbitraire et certains perdent même leur travail, exactement comme à Hong-Kong pour ceux qui critiquent le régime Chinois ! La comparaison n’est pas flatteuse ! Nous avions vécu un phénomène analogue en 2003, lorsque ceux qui critiquaient l’invasion de l’Irak par l’armée américaine, et qui doutaient de la réalité de ces soi-disant « armes de destruction massive », étaient vilipendés, traités de traitres à la patrie et aussi boycottés par les media ! Nous savons aujourd’hui ce qu’il en fut et à quels drames cet aveuglement a conduit.
L’autorité n’aime pas être contestée, surtout lorsque qu’elle sait que ses décisions sont contestables ! Face à cette vague d’interdits et de censures qui s’abat sur nous, il est donc plus que jamais nécessaire de regarder de plus près la parole officielle…
Qu’en est-il aujourd’hui de notre état sanitaire ?
J’ai déjà plusieurs fois évoqué mon scepticisme par rapport aux décisions officielles et les moyens de lutte préconisés par les autorités. J’ai surtout été choqué par l’ostracisme dont ont été victimes ceux qui préconisaient d’essayer d’autres voies. C’est toujours le cas aujourd’hui, toute alternative au traitement officiel est combattue avec force et tous les moyens sont bons pour faire taire les porteurs d’idées nouvelles. Cette attitude, à elle seule, est suspecte, comme si les autorités avaient quelque chose à cacher !
A propos de la vaccination, j’ai plusieurs fois fait état des intuitions des augures, particulièrement pessimistes. On peut bien sûr balayer de la main la prédiction des augures, néanmoins ce sont eux qui, dès Décembre 2019, prévoyaient une année 2020 périlleuse, qualifiée de « l’année maudite du siècle » ! Nous n’avons pas été déçus…
Il y a quelques mois, on nous vantait les prouesses miraculeuses d’une seule injection qui allait nous protéger du danger, sans le moindre risque. Les complotistes en doutaient déjà ! Puis, on nous annonça la nécessité d’une deuxième injection : ceux qui prévoyaient le besoin d’une troisième injection étaient considérés comme des complotistes malfaisants. Mais on nous annonce déjà la nécessité d’injections répétées, au minimum chaque année, voire plus souvent.
Jusqu’à aujourd’hui, il est difficile de parler des effets secondaires, car le sujet est tabou ! Évidemment, si vous faites un accident vasculaire quelques semaines après l’injection, il est difficile d’apporter la preuve absolue d’une relation de cause à effet ! Il faudra plus de recul et des investigations honnêtes, ce qui est loin d’être le cas. Le discours officiel mise sur une vaccination tous azimut, à marche forcée, y compris en maniant le chantage et le bâton.
Par contre, les chiffres des infections sont plus difficiles à contester. Or, il apparait que l’injection miracle est beaucoup moins miraculeuse qu’annoncé, au point que ceux qui ont été vaccinés ont un taux d’infection comparable à ceux qui ne l’ont pas été. Plus grave encore, le taux de mortalité entre les deux groupes est sensiblement comparable !
On nous parle de mutants, comme s’il s’agissait d’une surprise, alors que nous savons depuis des lustres que tout traitement contre des microorganismes favorise les plus résistants et ils se mettent à proliférer… C’est le principe même de la sélection naturelle.
Le plus grave est-il à venir ?
Nous ne sommes qu’au tout début du processus et les mensonges officiels apparaitront progressivement. C’est le travail des détectives et plus tard des historiens.
Une première information inquiétante vient de tomber, le 28 Mai. Elle émane d’un groupe de chimistes de l’Université d’Almeria en Espagne, dirigés par le Professeur Pablo Campra, qui a démontré la présence de nanoparticules d’oxyde de graphène dans un vaccin à ARN messager. Le graphène est un réseau de carbone pur, ultra mince, de seulement un atome d’épaisseur.
Nous apprenons, par la même occasion, que tous les vaccins anticorona contiennent de ces nanoparticules qui ont un effet antiviral, y compris les dernières versions du vaccin contre la grippe ! L’oxyde de graphène est devenu un adjuvant courant dans les vaccins au point qu’on peut se demander si l’essentiel de l’activité n’est pas due à ces nanoparticules qui vont inonder l’organisme, à nos risques et périls (1) (2).
S’il y a une chose qui vous était bien cachée, c’est la présence de nanoparticules d’oxyde de graphène dans les injections désormais reçues par des millions de patients ! Il apparait que ce produit inactive les virus par action électrostatique (3). Le seul inconvénient c’est que la toxicité de ce produit a été très mal étudiée. On sait seulement qu’il est toxique sur les plantes et algues marines et cytotoxique. On sait aussi que l’oxyde de graphène, en se répandant dans l’organisme, provoque des thrombus, favorise la coagulation du sang et altère l’immunité.
Par ailleurs, une équipe de chercheurs chinois a démontré, chez l’animal, une toxicité oculaire du graphite et de ses dérivés (4). Ce point est-il à rapprocher du fait que divers troubles ophtalmologiques ont été signalés chez des sujets vaccinés ?
Du point de vue biochimique, il a été démontré par une équipe japonaise, de l’université de Okayama, que l’oxyde de graphène engendre un stress oxydatif qui le rend cytotoxique. Il provoque une oxydation du glutathion qui est la principale molécule antioxydante cellulaire. En l’absence de glutathion, les cellules sont alors soumises aux assauts des radicaux libres oxydant. Ce mécanisme expliquerait la toxicité cellulaire de l’oxyde de graphène (5).
Les propriétés électromagnétiques de l’oxyde de graphène expliqueraient le fait que certains patients ont observés une action magnétique sur la zone d’injection. D’autres effets beaucoup plus délétères sont aussi envisagés, mais je crois que c’est assez pour aujourd’hui !…
Mais, ce qui me gène le plus, c’est que la présence d’oxyde de graphène n’apparait pas dans la liste des ingrédients des vaccins… Il est donc caché… pourquoi ? Si ces éléments étaient confirmés, il s’agirait d’un très grave mensonge d’État généralisé ?
Malgré tout cela, il convient de rester zen et de ne pas s’affoler : le pire n’est jamais certain ! Mais si, prochainement, on vous propose un vaccin intranasal boosté à l’oxyde de graphène, méfiez-vous…il est en préparation. En effet, selon les dernières nouvelles, les nanoparticules de graphène entrent en résonance avec les ondes électromagnétiques de la 5G ! à suivre…
Si, avant la lecture de cette chronique, vous ne saviez pas à quel groupe vous appartenez, maintenant vous le savez, suivant vos réactions.
- « Graphene nanomaterials : synthesis, biocompatibility, and cytotoxicity”- Int J Mol Sci. 2018 Nov 12; 19(11):3564
- “Revent progress of graphene oxide as a potential vaccine carrier and adjuvant”- Acta Biomaterials. 2020 Aug; 112:14-28
- “Antiviral performance of graphene-based materials with emphasis on Covid-19: a review”- Med Drug Discov. 2021 May 25: 100099
- “Ocular toxicity of reduced graphene oxide or graphene oxide exposure in mouse eyes”- Exp Eye Res. 2018 Sep; 174:59-69
- “Reaction between graphene oxide and intracellular glutathione affects cell viability and proliferation”- ACS Appl Mater Interfaces. 2021; 13,3: 3528-3535