Souvenez vous de votre adolescence. Je suis sûr que vous aviez des idéaux élevés, c’est à dire une belle vision de votre vie, pleine de promesses.
L’idéal, c’est ce qui nous élève au-dessus de la médiocrité. C’est une sorte de transcendance qui nous permet, par la pensée, de sortir de la gangue de la matière dans laquelle l’on se sent prisonnier. L’idéal a quelque chose de sacré qui nous porte au-dessus de nous-même, au-dessus d’une vie banale ou étriquée. Il est parfois nécessaire de remonter à l’adolescence pour reprendre contact avec nos idéaux. À cet âge, nous avons une sorte de pureté des sentiments qui nous fait entrevoir la vie dans ce qu’elle a de plus beau.

À l’adolescence, en effet, nous laissons plus volontiers parler notre cœur, c’est-à-dire notre intuition. Il est souvent utile et salutaire de recontacter nos rêves de jeunesse, ce sont les plus authentiques, ceux qui nous correspondent le mieux et que nous avons peut-être perdus en chemin. Nos idéaux de vie correspondaient à la vision la plus grandiose que nous avions de notre rôle dans ce monde. Souvenez vous de vos années de collège, à quoi rêviez-vous ? Comment envisagiez-vous votre vie ? Peut-être vous n’avez pas pu, ou pas osé, vivre la vie dont vous rêviez, mais reprenez contact avec ces rêves, ils ont encore quelque chose à vous dire. Il n’est jamais trop tard pour retrouver son idéal de vie et servir les valeurs qui sont importantes pour nous. L’idéal est une évasion, un modèle imaginaire, une utopie parfois. L’idéal n’est pas vécu à la lettre, c’est une esquisse qui donne la direction à suivre, le sens. C’est pourquoi l’idéal de vie est souvent teinté de spirituel et de sacré.

L’idéal est une idée en action, une idée qui nous mène plus loin, une idée qui nous grandit, une vision très personnelle et très intime de la vie que nous avons à vivre. L’idéologie est tout autre. C’est un idéal figé, transformé en dogmes, écrit sur du marbre comme les Tables de La Loi. L’idéologie est une idée rigidifiée, comme la mort, une pensée toute faite que l’on récite en chœur. D’une certaine manière l’idéologie stérilise l’idéal. Adhérer à une idéologie, c’est se faire voler son idéal et le pervertir. L’idéologie fédère des groupes humains qui s’agglutinent autour de slogans que l’on répète sans réfléchir, comme un moulin à prière. Toute idéologie est servie par une pensée rationnelle qui tente de justifier les dogmes. Tels le communisme, le nazisme, le socialisme, le féminisme, le rationalisme, le scientisme, qui sont des sortes de totalitarismes qui pensent à notre place avec une vue simpliste du monde.
Prenons garde de ne pas transformer nos idéaux en idéologie et de ne pas se laisser

enfermer dans un prêt à penser qui ne nous appartient pas. Adhérer à une idéologie, c’est se transformer en militant qui suit des mots d’ordre, défile en cortège et crie des slogans qui ne lui ressemblent pas. La structure d’une idéologie est de type pyramidal. Dans toute idéologie, il existe une hiérarchie de pouvoir et une lutte pour atteindre le sommet de la pyramide. C’est pourquoi les idéologies qui rencontrent le succès, et qui sont acclamées par la foule, finissent dans le sectarisme, l’exclusive et le totalitarisme. On fait la guerre pour une idéologie, pas pour un idéal.
L’essence de l’idéologie est matérialiste. Ainsi, lorsqu’un idéal spirituel se transforme en idéologie religieuse, la religion devient matérialiste, accaparée par le pouvoir. On peut dire que l’idéologie consiste à imposer son idéal aux autres, comme le montre trop bien l’histoire des religions. Une société idéale serait donc une société sans idéologie, une société ouverte et réceptive, une société au service des citoyens. Au contraire, une société animée par une idéologie est une société fermée sur ses certitudes qui demande aux citoyens de la servir et de servir ses représentants.
Symboliquement, l’idéologie possède une énergie masculine, générée par le cerveau gauche, rationnel. Au contraire, l’idéal possède une énergie féminine, intuitive, issue du cerveau droit. La synthèse consisterait à fusionner l’idéal et l’idéologie : rendre l’idéal plus réaliste et l’idéologie moins sectaire. Imaginons une idéologie au service de l’idéal, le matérialisme au service de la spiritualité.
J’aime bien cette phrase de la philosophe Chantal Delsol : « Quand un citoyen n’a plus d’idéaux, il tombe amoureux de son écran plat… Notre matérialisme provient directement de notre mépris des convictions spirituelles. »
C’est beaucoup ce que nous lisons dans le monde de la pensée et la philosophie, ancien ou nouveau apparaît à première vue que quelque chose Dgmati lui et ce dans tous les gammon philosophique idéale ou mentale ou physique, naturel ou un sophisme d’Oslo pédagogique ou psychologique, même si nous revenons à la date de toute l’école, nous le trouverons au début mis leurs idées en tant que musulman ou Dgmatih comme une révélation, même dans la physique de ce qui a émergé était le rapport d’Einstein
Et c’est i = e=m c au carre boîte ne comprenais pas, mais 12 personnes et ils m’ont dit mot à dire dans la vitesse de la lumière, etc .. Mais après une période ne dépassant pas un quart de siècle, il est devenu clair que cette théorie incomplètes et doivent être modifiés, ainsi que la loi thermo dynamique et la théorie de Alkontim etc .. Si vous avez besoin de comprendre et de différencier entre fixe et variable, et ensuite se concentrer sur l’A. dur plus proche de l’esprit et le sens et la logique et la science et l’expérience