Nous avons tous peur de mourir ! Mais mourir du cancer fait encore plus peur car c’est une maladie sournoise et vicieuse. Que faisons-nous pour l’éviter ? On dit souvent que prévenir vaut mieux que guérir…
Malgré les beaux et rassurants discours de la médecine, le cancer gagne du terrain partout dans le monde et rattrape les pays pauvres jusqu’ici épargnés. L’OMS estime à 20% l’augmentation de l’incidence du cancer entre 2012 et 2018.
Toujours selon l’OMS, une personne sur cinq sera frappée par un cancer avant l’âge de 75 ans ! Je ne suis pas là pour vous faire peur, mais davantage pour vous donner des outils de prévention et pour vous aider à échapper à ces sombres pronostics.
Comment éviter 4 cancers sur 10 ?
Si nous avons un accident de voiture, nous recherchons les causes : manque d’attention, vitesse excessive, pluie verglaçante, pneus lisses, mauvaise signalisation, que sais-je encore ?
Mais nous avons une fâcheuse tendance à mettre sur le compte du manque de chance et de la mauvaise fortune les maladies qui nous frappent, comme si le mal planait au-dessus de nos têtes et choisissait ses victimes au hasard. Rien n’arrive au hasard et nos maladies ont des causes !
Pour diminuer le risque de cancer, il convient donc d’une part de déterminer les facteurs qui favorisent son déclenchement ou sa prolifération et, d’autre part, mettre en évidence les éléments protecteurs qui peuvent nous éloigner de la maladie.
Un cancer sur trois atteint la prostate ou les seins, souvent lié à la pollution chimique des pesticides agricoles qui sont des perturbateurs hormonaux ! C’est dire l’importance de l’alimentation saine de culture biologique.
Le tabagisme génère la grande majorité des cancers des poumons, avec un fort taux de mortalité. Il demeure étonnant que des citoyens terrorisés par le cancer continuent à fumer en toute connaissance de cause. La complexité et l’incohérence de l’âme humaine ne cessera jamais de nous surprendre…
Parmi les autres facteurs de risque du cancer, bien répertoriés, nous trouvons l’abus d’alcool, le surpoids, la consommation excessive de viande rouge, le manque de fruits et légumes, le manque d’exercice physique et l’exposition aux radiations ionisantes (Rayon X et UV). Tels sont les facteurs qui dépendent directement de notre façon de vivre et qui devraient facilement nous permettre d’éviter 4 cancers sur 10 selon le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC).
Il est important de mentionner que ces facteurs sont aussi ceux qui favorisent les maladies cardiovasculaires, première cause de mortalité dans les pays développés. La première étape consistera donc, pour chacun d’entre nous, d’agir sur les causes qui précèdent.
L’objectif sera d’éviter 7 cancers sur 10
Les études dont je viens de parler ne prennent pas en compte d’autres facteurs tel que la pollution chimique et médicamenteuse, le stress, la solitude ou le manque affectif, ni le rôle joué par certaines carences alimentaires.
La pollution chimique qui altère nos aliments constitue un important facteur de risque cancérogène. Nous disposons actuellement d’une pléthore de fruits et légumes de culture biologique dont nous aurions grand tort de se priver. Choisir systématiquement un aliment bio constitue non seulement un acte citoyen, mais aussi une saine protection de la santé. Une étude épidémiologique française vient d’ailleurs de confirmer qu’une alimentation bio diminue statistiquement le risque de cancer…
Le stress et les états dépressifs sont des facteurs qui augmentent également le risque de cancer, ce qui prouve combien le psychisme et l’état mental jouent un rôle important sur notre santé physique. Une méta-analyse épidémiologique, portant sur près de 1,5 million de participants, a montré une plus forte incidence du cancer du foie et des poumons chez les personnes déprimées.
Dans le même ordre d’idée, les enfants ayant subi des stress importants durant l’enfance ont une plus forte incidence de cancer du foie et des poumons à l’âge adulte.
Le cancer est aussi favorisé par le stress oxydatif et les états inflammatoires chroniques. C’est pourquoi toute prévention du cancer doit être associée à un apport de substances naturelles protectrices, anti-oxydantes et anti-inflammatoires. Outre une alimentation riche en fruits et légumes bio, je recommande quelques substances dont la preuve d’efficacité a été prouvée.
En premier lieu je préconise le thé vert Matcha bio, merveilleux antioxydant et antivieillissement dont l’efficacité dans la prévention de tous les types de cancer a été abondamment illustrée. C’est le plus puissant des thés verts qui, d’une façon générale sont tous bénéfiques, en particulier dans la prévention du cancer de la prostate et du sein. J’ai rédigé un texte sur le thé Matcha que vous pouvez consulter en cliquant ici.
En complément, je conseille le Curcuma aux multiples vertus, qui fait aujourd’hui l’objet d’études intenses, non seulement en prévention du cancer, surtout colorectal, mais aussi en thérapie adjuvante. J’ai écrit récemment un texte sur le Curcuma que vous pouvez consulter en cliquant ici.
Si par ailleurs vous savez lutter contre le stress, si vous savez rester optimistes et si vous pratiquez la pensée positive, vous pouvez vivre vieux et en bonne santé. Comme vous le voyez, nous sommes les premiers responsables de notre santé et notre premier médecin !…
Si cette chronique santé vous a intéressé, dites-le-moi. Je peux traiter ce sujet plus souvent… cela me changera de la géopolitique dans laquelle j’ai parfois l’impression de tourner en rond et de labourer la mer !
Merci à l’avance pour vos commentaires sur le site chronique-libre.com ou sur Facebook.
Oui,Yves,si vous parliez davantage de Naturopathie,de Bio-Agrologie (ou de Bio-Jardinage)comme aussi des bienfaits d’une alimentation végétarienne ; domaines que si bien vous connaissez…j’en serait ravi,malgré mon Grand-Äge – 81 ans.Merci.
Je prends bonne note