813 – DANS LE MARECAGE DES BOBOS PARISIENS

Une fois de plus, une clique de bobos parisiens friqués, sans foi ni loi, mais qui se prétendent des maitres à penser, nous offre le triste spectacle de leurs pitreries et de leurs débauches…

Dans ma dernière chronique, je renouvelais mes craintes vis-à-vis d’une démocratie à bout de souffle. Les arcanes d’une politique française putride nous offre cette semaine un avant-goût de cette déliquescence programmée et orchestrée par une bande de fils de bourgeois argentés qui se croient au-dessus de la morale ordinaire.

Un politicard foireux

D’un côté, un petit politicien sans envergure, mais à l’ambition démesurée, prétendait gouverner Paris. Pour parvenir à sa conquête et amplifier son ego il envisageait des projets pharaoniques, aussi inutiles que dispendieux, tel que le déplacement de la gare de l’Est !

Pour mieux séduire sa clientèle électorale, il promettait un chèque de 100.000 euros à chaque citoyen qui voulait acheter un appartement dans la capitale. Pour ces nullités intellectuelles, rien n’est assez stupide pourvu que l’on parle d’eux !..

Je tairais le nom de ce pitre afin que nous l’oublions au plus vite. Je rappellerais simplement que son principal fait d’arme a consisté à poster sur les réseaux sociaux ses séances masturbatoires, comme un adolescent attardé qui voudrait montrer sa virilité douteuse.

Un trio d’enfer

En face, un trio vulgaire et hétéroclite qui se revendique libertaire, un mot qui sonne bien et qui lui permet de patauger dans la fange avec un cynisme effronté.

Tout d’abord, un Russe exilé, provocateur de métier, abusant du droit d’asile qui lui fut accordé en 2017, en un temps record, grâce à des accointances louches dans les couloirs sombres du pouvoir. Il n’était pas menacé politiquement en Russie, mais seulement poursuivi par la justice pour un crime sexuel ! Vous aimeriez bien savoir quel fonctionnaire ou quel politicien a trouvé tant de vertus à ce pitre minable…

Ses premiers pas en France ont consisté à mettre le feu sur le parvis de la Banque de France ce qui lui valut une peine de trois ans de prison qu’il n’effectua que partiellement. Le 31 Décembre dernier il jouait du couteau dans une soirée parisienne, chez des bobos friqués du Boulevard saint Germain où il blessa plusieurs convives.

La semaine dernière, il est impliqué dans une nouvelle affaire de mœurs politico-sordide en relayant sur les réseaux sociaux les fameuses extases lubriques du zozo dont je parlais plus haut.

Le comble, c’est que la France ne dispose même pas de l’arsenal juridique pour réexpédier ce pitre dans son pays d’origine dont le Président doit bien rire du bon tour qu’il a joué à la France en se débarrassant de ce personnage encombrant…

Le Russe en question dispose à Paris de deux acolytes qui semblent émerveillés par les prouesses de leur mentor : d’un côté, une jeune aventurière manipulée et écervelée, mais qui, avec un nom à la sonorité aristocratique, cherche à faire parler d’elle à n’importe quel prix ; de l’autre, un jeune avocat qui fait partie de l’ultra gauche et qui milite ouvertement pour la destruction de l’autorité de l’Etat dans le but avoué de s’y substituer ! Dans un récent délire paranoïaque il s’exclama : « Soit je me fais exploser, soit je deviens le roi du monde ! »

C’est ce même avocat sulfureux qui, cherchant à se faire connaitre par tous les moyens, écrit à Salah Abdeslam qui est le seul survivant des terroristes qui ont attaqué le Bataclan. Tout en proposant ses services, il ose mettre en avant la convergence des luttes en écrivant : « J’ai fait le choix de la résistance, celle de l’intérieur. Vous, de la violence. Celle de l’extérieur ». Autrement dit, les deux actions sont complémentaires et se renforcent !… Tout est dit.

Mais son seul fait d’arme demeure d’avoir publié « Crépuscule » un pamphlet violent qui se résume en une haine viscérale vis-à-vis d’Emmanuel Macron… Bien qu’habitant un appartement rue de Rennes à Paris, il prétend vivre du RSA ! Cherchez l’erreur…

En ce qui concerne la belle aventurière, il s’agit d’une étudiante attardée qui, à 29 ans, vit encore aux crochets de ses parents dans un appartement bourgeois d’un immeuble cossu du 16ème arrondissement. Son passe-temps favori semble être de prendre contact avec des personnalités politiques sous le prétexte de les interviewer, voire de les séduire… c’est elle qui a eu l’honneur de recevoir, par messagerie informatique, les prouesses masturbatoires du prétendant à la Mairie de Paris.

Ce trio d’enfer, constitué donc de pseudo aventuriers, apôtres de la révolution et libertaires, fait ménage à trois selon une géométrie variable. Ils ont table ouverte dans tout ce que Paris compte de bobos gauchos, volontiers donneurs de leçon et toujours prétentieux.

Ils ont le culot de donner des leçons de savoir-vivre et se répandent dans les media, toujours à la recherche de provocation, de croustillant et de scandaleux.

Ils naviguent donc tous sur les bords de la Seine, entre le quartier Latin et la place des Vosges, parmi les fils et les filles à papa aux mœurs dissolues. Ce microcosme fortuné, issu de la politique, du showbiz et des media, se fréquente, fricote, couche, se jalouse et prépare des coups bas. Ils sont prêts à tout, pourvu que l’on parle d’eux.

Les media se délectent et ne s’offusquent même pas, habitués à patauger dans la fange. Pendant que la France trime, les bobos friqués trinquent, font la nouba et jouent les anarchistes ! Ils représentent tout ce que la France profonde vomit…

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