Nous vivons une époque étrange. La médecine a pris la place des religions et est devenue une croyance. On a la foi ou on ne l’a pas, et cela ne se discute pas !
Le discours médical est devenu si éloigné du bon sens et du rationnel que sa parole est devenue religieuse. En exemple, ceux qui ne croient pas aveuglément aux vertus du vaccin anti-covid sont excommuniés, comme ceux qui refusaient l’hostie bénie…
La médecine est si imbriquée à l’humain, à ses humeurs et à ses émotions qu’elle ne peut revendiquer d’être une science ! Elle repose néanmoins sur la méthode expérimentale qui, du moins en principe, supporte la discussion dialectique et la pluralité des interprétations.
Mais la position de chacun sur les divers vaccins anti-covid est sortie du domaine du discours rationnel, sur ce que l’on sait ou sur ce que l’on ne sait pas sur le virus, sur l’immunologie, sur les vaccins en général et sur ceux-ci en particulier. Nous sommes dans le domaine de l’idéologie, du parti-pris, de l’a priori, de la croyance, bref, du religieux. Comme l’écrivait il y a quelques jours Bertrand Kieffer, rédacteur en chef de la Revue Médicale Suisse : « Pour la pensée contemporaine, la santé est à la fois une perfection et un idéal de type religieux ». Ce ne peut être ni l’un, ni l’autre.
Le discours officiel
Les Grands- prêtres de la médecine se sont tout de suite massivement prononcés en faveur du vaccin, bien avant d’avoir la moindre preuve de son efficacité et de sa bonne tolérance. Ils se sont basés sur leur expérience des vaccins pour supposer, a priori, que celui-ci aurait toutes les vertus.
En fait, les preuves étaient aussi minces que lorsque les Apôtres affirmèrent que le Christ était ressuscité le troisième jour. Ils se sont basés sur le fait que Jésus avait fait tant de miracles qu’Il pouvait tout aussi bien décider de sortir de son tombeau ! En réalité, les preuves étaient bien minces…
Mais, dans l’un et l’autre cas, une fois l’idéologie affirmée comme un dogme de foi, il n’est plus possible de discuter, l’affaire est entendue une fois pour toute. La nouvelle religion est prise en main par de nouveaux adeptes qui sont soudain frappés par la foi du charbonnier et répandent la bonne nouvelle Urbi et Orbi.
Au début, certains membres du clergé font des objections mais elles sont balayées d’un revers de main. Certains insistent et veulent mieux comprendre : ils finissent par agacer et gêner le discours officiel qui se raidit, édicte de nouveaux dogmes et les grave dans le marbre. Les réfractaires sont alors exclus, renégats de leur corporation. Tout se fige et se rigidifie !
La masse des fidèles
Comment faut-il les appeler ? les Ouailles, les patients, les fidèles, la masse des croyants ? Disons les citoyens ! Comme toujours en pareille circonstance, la grande majorité d’entre eux suit le mouvement aveuglément, sans un murmure, il suffit de leur promettre la vie éternelle et l’affaire est dans le sac…
C’est en ce sens que la médecine et la religion sont si proches l’une de l’autre, elles tentent d’apprivoiser la mort. Les religions promettaient la vie éternelle et prospéraient grâce à la peur de l’enfer, mais elles peinent aujourd’hui à convaincre. La médecine entretient assidument notre peur atavique de la mort et nous fait rêver d’une éternité terrestre, ou presque…
Par définition donc, les fidèles ont la foi car elle soulage leurs angoisses, c’est tout compte fait assez pragmatique et non dénué de bon sens. Pourquoi se compliquer la vie et, en plus, s’attirer des ennuis en jouant les francs-tireurs ? Suivre le mouvement et aller dans le sens du courant, c’est ce qu’ont fait tous les peuples depuis la nuit des temps. S’adapter ou mourir, comme disent les adeptes de l’évolutionnisme.
C’est donc grâce à ce consensus des foules que les peuples sont gouvernables. Je n’ose pas imaginer un monde dans lequel chacun voudrait donner son avis et contester les décisions. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle il est si facile d’installer un gouvernement autoritaire et c’est précisément là que se situe la faiblesse des démocraties !
Mais il faut préciser un phénomène étrange : il semble que ceux qui sont les plus réticents à se convertir deviennent ensuite les adeptes les plus intransigeants. Les derniers à se faire vacciner, qui ont hésité longtemps avant de se décider, deviennent ensuite les pires pourfendeurs des récalcitrants. N’est-ce pas Saint Paul, qui longtemps pourchassa les disciples de Jésus, mais qui devint le chrétien le plus intégriste ?
Les réfractaires
La majorité qui suit aveuglément les dogmes officiels se situe, en général, aux environs de 70%. Les bons leaders, très charismatiques, comme Hitler ou Xi Jinping, peuvent atteindre plus…
Dans tout système, il y a un minimum de contestataires, c’est la nature humaine. Car, in fine, ce sont eux qui, au fil des âges, ont fait avancer l’humanité ! Ceux qui pensent comme tout le monde n’inventent jamais rien. Mais les religions ont ceci de particulier qu’elles détestent les minorités réfractaires, au point de vouloir les faire taire, dans le meilleur des cas, ou les exterminer dans le pire des cas. L’Histoire passée et présente en donne une multitude d’exemples.
La religion médicale n’échappe pas à cette règle et la nouvelle religion vaccinale illustre mon propos. Ceux qui autrefois étaient des impies ou des infidèles sont devenus des « complotistes » dans la religion vaccinale ! On dit qu’ils ne « croient pas » au vaccin ce qui signifie bien que nous sommes dans le champ du religieux.
Les réfractaires peuvent essayer d’avoir avec les croyants un discours rationnel et étayé de publications scientifiques sérieuses, c’est inutile, ils ne sont pas entendus. Ils doivent d’abord se convertir avant d’être dignes de discuter. C’est comme dire à un catholique fervent que Marie n’était peut-être pas vierge ! C’est une sorte de blasphème qui vous envoie du côté de Satan !
Les faits
Je ne suis pas à l’aise dans le domaine de la croyance et j’ai la fâcheuse habitude de garder les pieds sur terre. Je ne sais pas discuter sur le sexe des anges, mais néanmoins je suis prêt à étudier tous les phénomènes étranges, même les plus invraisemblables, car je sais que le monde est infiniment plus complexe que celui que l’on nous enseigne.
Mais je refuse de discuter de la vaccination en général, comme s’il s’agissait d’une croyance. J’en sais assez sur les vaccins pour dire qu’ils sont parfois indispensables, parfois simplement utiles, parfois inutiles, souvent bien tolérés mais parfois accompagnés d’effets secondaires graves.
Je réfute le discours médical qui affirme ce qu’il ne sait pas ! Les bénéfices sont-ils supérieurs aux risques ? L’efficacité est-elle celle qui est annoncée par les fabricants ? La religion médicale répond oui, les yeux fermés, à ces deux questions. Je les invite simplement à ouvrir les yeux et à accepter le débat, de façon objective et rationnelle.
La négation d’un certain nombre d’effets secondaires graves a jeté un discrédit sur le discours officiel. Il s’avère en effet qu’un nombre non négligeable d’accidents vasculaires et de maladies de Guillain Barré sont survenus, chez des personnes jeunes et en bonne santé. Refuser d’y voir une possible relation de cause à effet dessert la médecine et méprise les patients.
L’efficacité est sérieusement remise en question, en particulier sur les nouveaux mutants, puisque dans les pays les plus vaccinés ils sont nombreux à être infectés par le virus avec le même niveau de gravité que les non-vaccinés. C’est le cas en particulier en Israël et en Grande Bretagne, pays à l’avant-garde de la vaccination. Le refus de prendre en compte ces éléments rend suspect le discours officiel !
Ceux qui ont émis l’hypothèse que certains traitements simples, bien tolérés et bon marché, pouvaient être efficaces contre le covid, sans avoir recours aux aléas des vaccins, ont reçu une volée de bois vert et furent privés de parole dans les media et les réseaux sociaux, ce qui en dit long sur l’état de nos démocraties ! C’est ainsi que les bienfaits de l’Ivermectine sont passés à la trappe… Pensez-donc, c’est un produit à trois sous sur lequel il n’y a rien à gagner…
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/?term=ivermectin%20covid-19
Nier l’évidence, ne sert personne ! Les religions ne se sont jamais intéressées au bien être des fidèles ou des malades, elles ne servent que leurs dogmes et leurs certitudes. Dans le discours religieux nous sortons du domaine de la raison ou du simple bon sens, la mauvaise foi et les contre-vérités semblent être la règle. Et pourtant, une religion vaccinale, prôné par un État laïc, et devenue la seule religion officielle autorisée : cela fait désordre dans un pays de liberté religieuse…
Tout à fait d’accord avec vous.
Prière à Saint Vaccin
Saint Vaccin protège nous
De ce virus indigène
Donne nous tes antigènes
Nous t’en prions à genoux
Que la Sainte Trinité
Qui gouverne notre France
Ne mette rien en balance
Pour gérer notre santé
Saint Vaccin, toi qui est né
Dans les grands laboratoires
Fais que soit obligatoire
De se faire Vacciner
Viens comme un Saint sacrement
Nous prodiguer ton baptême
Et déverser l’anathème
Sur tous les contrevenants
Qu’ils soient privés de dessert
Et de plat de consistance
Pour brise leur résistance.
Jettes les dans le désert.
Qu’ils passent quarante jours
Comme Saint jean le Baptiste.
Mais,,,,
Deviendraient ils occultistes
Nous perceraient ils à jour ?
Cette éventualité
Est la peur qui nous taraude :
S’ils découvraient notre fraude
Nous en serions dépités.
Car nous avons dû, c’est vrai
Penser une stratégie
Contre cette épidémie
Qui est toujours sur le quai.
Pour arriver à nos fins
Pour éviter qu’on replonge
Mésuser de pieux mensonges :
Il n’y a que le vaccin,,,enfin !
Aurait il fallu s’ouvrir
Aux épidémiologistes
Ou à quelques fantaisistes
Qui nous auraient fait fléchir ?
Écouter “leurs vérités”
Élucubrés sur la toile
Qui feraient que se dévoilent
Nos sombres complicités.
Car l’histoire est faite ainsi
Façonnée depuis des lustres
Par des contre sens illustres
Qui tiennent à leur merci
Tous ces moutons ignorants
Sous notre sainte houlette.
Et nos loups feront leur fête
A tous les récalcitrants.
Écoutez leurs bêlements
Ils contredisent sans cesse
Le sermon de notre messe
Ce sont des dénigrements :
Nos vaccins sont des fictions
En plus ils sont délétères
Donnent de même manière
Baptême et extrême onction !
Et d’autres médicaments
Seraient bien plus efficaces,
Qu’il serait bien plus sagace
D’employer en traitements,
Mais que deviendrions nous ?
Écrases sous une opprobre
Bien avant le mois d’octobre
Nous serions à vos genoux.
Alors soyez conciliants
Accordez votre confiance
A ces bienfaits de la science,
Nous serons reconnaissants :
Nous ferons d’autres vaccins
Qui passeront sans problème
Qui seront le seul système
Pour forger un monde sain.
Descendrons nous ce calvaire
Mains déclouées des mensonges
Vinaigre dans une éponge
Que cette engeance larvaire
soit par nous jetée à bas
Prenons bien garde à notre âme
Pour éviter qu’elle souffre
Dans ce système s’engouffre
A cet Évangile s’ouvre
S’offre à cette croix infâme
Mais ne ressuscite pas !