Ce titre peut paraitre provocateur ! C’est une simple question d’un observateur attentif qui regarde, écoute et cherche des réponses cohérentes et logiques dans une société devenue folle…
Même si c’est aujourd’hui interdit, je continue à me poser des questions ! Je sais que les pouvoirs politiques et médicaux semblent avoir des certitudes et des réponses toutes faites à nos questions. Mais il semble que les faits soient têtus et contredisent souvent la parole officielle.
En exergue de cette réflexion, voici une pensée attribuée à Aristote :
« L’ignorant affirme
Le savant doute
Le sage réfléchit ».
Il n’est certes pas facile de gouverner en période normale, mais cela devient très difficile en période de crise, sauf à instaurer la dictature. L’on sent bien qu’actuellement, c’est une tentation à laquelle les gouvernants échappent avec difficulté.
Le rôle des citoyens consiste à continuer à s’informer à toutes les sources, à se poser toutes sortes de questions, à douter systématiquement de tout, à réfléchir et à ne rien affirmer, en espérant que les gouvernants feront de même.
Le variant delta est-il dangereux ?
Plusieurs épidémiologistes ont suggéré que les mutations successives qui surviennent sur un virus le rendent généralement à la fois plus contagieux et moins dangereux. Les faits actuels avec le variant delta semblent leur donner raison.
Les chiffres qui nous sont donnés montrent en effet une certaine recrudescence dans le nombre d’infections, mais avec peu d’hospitalisation et une mortalité en très forte baisse. Tout cela devrait rassurer les autorités qui, pourtant, ne cessent de nous alarmer. Pourquoi ?
Le premier variant qui, officiellement, provenait de Chine était très peu dangereux pour les enfants qui, le plus souvent, étaient asymptomatiques. Le variant delta étant encore moins dangereux, comment justifier rationnellement la vaccination des enfants qui est encouragée, voire obligée, par certains gouvernements ? Pourquoi n’a-t-on à ce sujet aucune information crédible ?
Ce qui est cruellement apparu, lors de cette pandémie, c’est l’extrême fragilité d’une population affligée de nombreuses comorbidités générées par un hygiène de vie et une alimentation déplorable : diabète, obésité, troubles cardiovasculaires… Selon les chiffres fournis, 20 millions de français seraient des « sujets à risque », ce qui en dit long sur le manque de prévention sanitaire d’un pays qui croule sous les dépenses de santé !
Les vaccins anti-covid actuels sont-ils efficaces ?
Les grandes campagnes d’incitation à la vaccination promettaient une excellente protection immunitaire. La justification d’une vaccination précoce, avec un vaccin expérimental, dont on ignorait les effets délétères possibles, reposait sur cette garantie d’efficacité face à un virus dangereux et potentiellement mortel, contre lequel il était urgent de se prémunir.
Nous n’avons pas eu le temps de savoir si les vaccins étaient efficaces contre les premières souches virales puisqu’elles ont été vite remplacées par de nouveaux mutants, dont le célèbre variant delta.
Or, les données qui nous parviennent des pays massivement vaccinés nous laissent dubitatifs. Ainsi en Israël, où les trois quarts des citoyens ont été vaccinés avec le vaccin Pfizer à ARN-messager, il est observé un pic important de contamination au variant delta, laissant planer un fort doute sur l’efficacité des vaccins actuels.
C’est ainsi que Nadav Davidovitch, directeur de l’Association Israélienne des médecins de Santé Publique, en répondant à un journaliste du quotidien Le Temps, reconnut honnêtement : « Parce que la campagne de vaccination avançait très vite, nous avons imaginé qu’Israël avait atteint l’immunité de masse et vaincu le coronavirus. Nous payons aujourd’hui le prix de cette illusion ». Voilà qui est clair.
D’autres pays hyper vaccinés ont connu les mêmes déboires. Il est même vite apparu que les vaccinés pouvaient non seulement être malades, mais aussi être contagieux. Dans ces conditions, est-il judicieux de continuer à préconiser une vaccination tous azimuts qui semble conduire à une impasse ?
Une autre problématique repose sur la durée de protection qui, selon les dernières données, n’excèderait pas 6 mois. « Les deux premières doses de vaccins ne protègent que cinq à six mois, pas plus » affirme Michal Linial, professeure à l’université de Jérusalem. Il est donc envisagé une troisième injection, afin d’espérer prolonger la période d’efficacité et de la renforcer, sans préjuger de la suite. Cette troisième dose protègera-t-elle du variant delta ou sera-t-elle identique aux précédentes injections ?
De si nombreuses questions restent sans réponse que l’on en vient à penser que les autorités doivent absolument se débarrasser, au plus vite, d’un énorme stock de vaccins qui risquent d’être périmés et qui est, de jour en jour, moins efficace.
Les vaccins anti-covid sont-ils dangereux ?
Les autorités sont aussi muettes concernant les effets secondaires potentiels. Je ne parle pas des effets immédiats qui génèrent une réaction inflammatoire qui est le signe d’un branlebas de combat immunitaire.
Je veux parler des risques à moyen et long terme. De très nombreux cas de thromboses veineuses et d’accidents neuro-vasculaires ont été rapportés 15 jours à 3 semaines après la vaccination chez des sujets en bonne santé et dans la force de l’âge, suite à un emballement inflammatoire. On comprend bien les raisons malsaines qui poussent les autorités médicales et les media à se taire ! Mais la malhonnêteté est parfois poussée plus loin et est plus grave lorsque l’on entend un ministre ou une autorité médicale nier le rapport de cause à effet entre la vaccination et l’accident cardiovasculaire. Nous savons pourtant tous que le vaccin à ARN-messager fabrique la fameuse protéine spike qui est à l’origine des troubles circulatoires. Il n’y a donc pas de magie, et il est logique que ce type de vaccin induise le même type de troubles que la maladie.
Toute l’opération de communication consiste à faire peur du virus et à rassurer sur le vaccin ! Il s’agit donc de mettre en avant, avec force images, tout ce qui peut faire peur du premier et à taire, systématiquement, tout ce qui peut alimenter la suspicion pour le second. S’agit-il d’un pieux mensonge ou d’un grave mensonge d’État ? Je laisse les lecteurs répondre à cette question…
Mais la suspicion est malheureusement alimentée par la censure de tous ceux qui cherchent à réfléchir et qui posent les questions qui dérangent. En ce sens, il semble que nous nous éloignions chaque jour davantage de la démocratie.
Le pass-vaccinal est-il justifié ?
En période d’épidémie grave, la mise en circulation d’un passe-sanitaire pour effectuer certains voyages ou participer à certaines rencontres peut tout-à-fait être justifiée afin de protéger la population.
Le pass-sanitaire garanti par un test PCR négatif peut être utile et efficace pour éviter la propagation du virus, et ce système a parfaitement fonctionné pendant des mois, malgré les contraintes désagréables que cela occasionne.
Ensuite est venue la vaccination qui a été vendue comme étant le sésame qui allait tous nous délivrer et nous ouvrir les portes de la liberté et peut-être même du paradis ! Il était censé nous protéger, d’une part, et protéger les autres d’autre part. Or, l’expérience a montré que le vaccin nous protège mal, voire très mal du variant delta, et ne protège pas du tout les autres que nous pouvons contaminer, puisque les vaccinés peuvent contracter la maladie avec, nous l’espérons, des symptômes minorés.
Actuellement, le pass-sanitaire est devenu un pass-vaccinal qui permet aux vaccinés d’aller partout, de passer les frontières, de prendre le train ou l’avion, d’aller au restaurant et de faire la fête avec leurs amis. Il s’agit en fait d’une véritable escroquerie.
En effet, les vaccinés peuvent d’une part être infestés par le Covid, et même parfois aller en réanimation, et d’autre part ils peuvent contaminer les autres allègrement et sans scrupule, avec la bénédiction des autorités médicales. En fait, ce sont les vaccinés qui sont devenus dangereux, souvent sans le savoir. Il ne parait donc pas exagéré d’affirmer que le passe-vaccinal est une double escroquerie !
Pour aggraver la chose, nombre de vaccinés le sont depuis plus de 6 mois, c’est-à-dire qu’ils ne sont plus protégés du tout, comme nous avons vu plus haut, mais ils agissent comme s’ils l’étaient…
Faut-il vacciner les enfants ?
C’est dans le contexte qui vient d’être expliqué qu’est survenu l’idée saugrenue de vacciner les enfants. Je dois dire que je ne parviens pas à comprendre ce qui peut justifier pareille décision qui va à l’encontre du bon sens pour de multiples raisons.
Tout d’abord, nous savons depuis longtemps que les enfants sont très généralement asymptomatiques. Pourquoi vacciner quelqu’un qui n’est pas sensible à la maladie ? La protection des autres est, comme nous venons de voir, une illusion que les autorités persistent à entretenir de façon coupable.
Il eut au contraire mieux valu laisser le virus circuler librement parmi les populations jeunes, qui seraient ainsi bien mieux immunisés qu’avec le vaccin et ne risqueraient plus d’être un vecteur de contamination.
Par ailleurs, il ne faut pas négliger des risques que fait courir le vaccin à ARN-messager dont le rôle consiste à faire fabriquer la protéine spike par les cellules et à en inonder l’organisme. Or, nous savons tous que la protéine spike est à l’origine des effets néfastes du virus. Elle peut se fixer sur de nombreuses cellules au niveau des poumons, du cœur, des reins du cerveau ou des testicules. Qui peut dire quels peuvent être les effets néfastes à long terme ? Personne…
En l’état actuel des choses la vaccination des enfants apparait comme injustifiable et potentiellement dangereuse. Il est certain que pour les enfants et les adolescents, le risque vaccinal est supérieur au bénéfice que l’on peut en attendre.
D’une façon plus générale, il est légitime de s’interroger sur les raisons qui ont poussé les autorités médicales à privilégier la seule réponse vaccinale et d’écarter a priori toute autre approche préventive. Il existe en effet de nombreuses possibilités efficaces pour se prémunir d’une infection, à commencer par une remise en état du système immunitaire.
Mais tous ceux qui font des propositions, qui émettent des suggestions ou s’interrogent sur le bien-fondé des décisions officielles sont vilipendés et censurés. Les uns après les autres, les « dissidents » sont privés de parole.
Plus grave encore, les médecins ont été interdits de prescrire des alternatives qui pouvaient protéger les malades qui partaient en réanimation sans avoir reçu le moindre traitement préalable. Notre époque en rappelle une autre, qui s’est très mal terminée !
Pourquoi tant de mensonges, pourquoi tant de censures et de mises à l’index ? Selon Hannah Arendt, « quand tout le monde vous ment en permanence, le résultat n’est pas que vous croyez à ces mensonges mais que plus personne ne croit plus à rien…Et un peuple qui ne peut plus rien croire ne peut se faire une opinion. Il est privé non seulement de sa capacité d’agir mais aussi de sa capacité de penser et de juger. Et l’on peut faire ce que l’on veut d’un tel peuple ». Nous y sommes… et nous savons jusqu’où cela peut aller.
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La semaine prochaine je donnerais des conseils précis avec ma chronique intitulée:
“COMMENT SE PROTÉGER DES EFFETS DU COVID-19
ET DES RISQUES POTENTIELS DE LA VACCINATION ?”