Sous toutes les latitudes, et à toutes les époques, les sociétés humaines – quelles soient archaïques ou développées – étaient caractérisées par trois invariants universels.
Ces trois piliers sur lesquels reposent toutes les sociétés humaines, depuis la nuit des temps, sont les suivants : elles disposent toutes d’une religion ; l’institution du mariage est sacralisée et solennelle ; enfin les morts bénéficient d’une sépulture après des rites sacrés.
Or, il se trouve que nos sociétés contemporaines occidentales tournent progressivement le dos à ces trois caractéristiques qui paraissaient comme constitutives de toutes les sociétés. La religion est délaissée au profit d’une laïcité qui nous a fait perdre toute notion du sacré. Le mariage est contesté, il est devenu facultatif et il a perdu une grande partie de son caractère solennel. Le fameux « mariage pour tous », c’est-à-dire entre personnes du même sexe, enlève définitivement la valeur fondamentale symbolique du mariage. La vie humaine ayant perdu son caractère sacré, la mort n’a plus besoin d’être accompagnée par des rites religieux, elle débouche sur le néant. Le décès d’un proche ne pose que des problèmes matériels, des soucis d’intendances, mais toute autre considération plus ou moins sacralisée est évacuée par une laïcité bienveillante.
Il est difficile de dire quelles peuvent être les conséquences d’un tel bouleversement des valeurs, sur le devenir de nos sociétés humaines. Cette laïcité triomphante, héritée de la vision purement matérialiste de la vie, saura t-elle apporter assez de réconfort et de liens sociaux pour permettre à ces sociétés de continuer à se développer harmonieusement ? Ou bien, au contraire, ce matérialisme froid et anxiogène va t-il engendrer une angoisse existentielle qui pourrait déboucher sur une société dépressive ?
Il est difficile de répondre, mais chacun sent bien que notre société occidentale contemporaine est soudain saisie d’un immense doute quant à son devenir. Il est possible que le renversement des totems et des tabous ne soit pas sans conséquence sur la survie même de nos sociétés.

Patauge et le désordre dans votre article et de l’esprit de retour à ce que logique et conforme à la période de discours humanitaire environ raisonnable et non raisonnable dans notre sociales parler de l’existentialisme et du marxisme dans le cœur de l’un et où atteint par la pensée sociale nous sommes des hypocrites, dit Philippe Bovar dans son livre-dire la laïcité, ce qui signifie la séparation de l’Église État et le mariage comme vous le dites M. Yves sacré.
tout du noyau de la religion, pourquoi ne pas inclure le mariage laïc signifie que les peuples ou les nations qui prétendent la laïcité est intrinsèquement parfait et ne sont pas à croire à la sainteté des hommes mariage et le mariage chacun, ce qui explique la vengeance de la communauté à la suite de la négligence et de l’éducation automatique Sartre a exprimé dans ses mains sales jeu alors qu’il s’adressait à Jupiter et lui dit Depuis que vous ma avez créé libre, pourquoi me sur les restrictions à la liberté de pourquoi FAIS système prisonnier moi.
Si d’abord que la laïcité était une évasion de l’église qui interfèrent dans la vie des gens, même dans la science, comme le procès de Galilée
Et imposer une redevance sur les gens comme indulgences et après les gens de l’église, mais les gens ont continué leur idéalisme dans leur vie et ne se désintègrent pas les familles en grande partie des gens
a suivre ..
je partagerai l’article 388;avec mes amies? rien ne vaux que la religion car elle nous lient.Elle permet à l’homme d’etre accepter ,respecté dans sa sociétée.La réligion bien exercer nous ecartent de se livrer à une lutte initule???