Par les temps qui courent, les media n’ont qu’un mot à la bouche : «Liberté d’expression » ! Ils clament haut et fort leur droit de dire tout et n’importe quoi…
Nous sommes tous pour la liberté, c’est un beau mot qui fait rêver. « Il est interdit d’interdire » clamait le slogan de Mai 68. Mais faut-il rappeler que notre liberté individuelle s’arrête là où commence celle des autres ? Même dans un pays de liberté, il doit exister des interdits. Comme l’on ne peut pas tout faire, l’on ne peut pas tout dire. Je ne peux pas agresser mon voisin, ni physiquement, ni verbalement. Je n’ai pas le droit de l’insulter. Je n’ai pas le droit de salir la réputation de ceux que je n’aime pas. Je n’ai pas le droit de cracher sur le drapeau de mon pays, ni de le piétiner ni de le brûler, car c’est un symbole sacré. Je n’ai pas le droit de dire que la fille de mon voisin est une putain car je salis sa famille…
Il existe donc bien des territoires interdits, des zones délicates, des sujets sensibles, que l’on ne traite qu’avec le bout de la plume. Nous avons tous au fond de nous une image sacrée, c’est-à-dire la représentation d’une valeur intangible, à laquelle nous n’acceptons pas que l’on porte atteinte, sous aucun prétexte. Chacun de nous porte en lui un territoire sacré qui varie suivant les époques, les lieux et les communautés. Vous n’accepteriez pas que je dise que votre père est un sale con ou que votre famille est dégénérée. Vous seriez profondément offusqué et blessé si je disais que vos attaches culturelles sont arriérées ou débiles.
Vous et moi savons qu’il y a des limites à la liberté d’expression. On ne peut pas tout dire,

Bravo, il fallait le dire, et de cette façon là! il faut vraiment être pervers pour attaquer un monde en feu qui n’attend que cela pour justifier la barbarie! françoise
________________ Françoise Since 25, rue Pra de Pé 83570 COTIGNAC Tel. 0494695335 Port. 0632417355 _________________
Ce sont de nouvelles guerres du moins… celles que les ”médias” en font avec leurs désinformations. Ils aiment mettre le feu aux poudres sans respect avec des pétards mouillés. Mais nous qui les lisont et les écoutont, sommes obligés de faire la part des choses et chacun a son interprétation avec sa propre logique. Par contre sans eux, nous continuerions à vivre dans le temps de la grande noirceur médiatique. Il y a les Bons journalistes et les mauvais journalistes…
pour l’insulte d’accord .mais es critiquer un texte religieux portant atteinte au non croyant ou a leur liberté serait un sacrilège