«… Quel alpiniste pourrait faire l’ascension d’une montagne s’il avait devant lui des parois parfaitement lisses ? Comment arriverait-il à se hisser jusqu’au sommet s’il n’y avait pas des aspérités où il peut placer ses mains, ses pieds, accrocher sa corde ? Alors, ce que tout le monde comprend quand il s’agit de l’ascension d’une montagne, il faut aussi l’admettre quand il s’agit de cette ascension tellement plus remplie de signification que doit être la vie psychique. C’est grâce aux aspérités (obstacles, épreuves, hostilités) auxquelles on s’accroche qu’on parvient à s’élever …»
Je commence aujourd’hui ma chronique avec cet extrait du Dictionnaire de la Nature du Maître spirituel Omraam Mikhaël Aïvanhov, diffusé par les Editions Prosveta.
Je trouve cette métaphore assez juste. En effet, si nous observons nos vies avec honnêteté, nous nous apercevons que ce sont les difficultés qui nous ont fait le pus avancer. Bien sûr, sur le moment, ce n’est pas l’impression que nous avons ! Nous avons même le sentiment d’être «freinés» … Pourtant, si nous réfléchissons avec recul, une fois les «obstacles, épreuves et hostilités» dépassés nous nous sentons souvent plus forts.
“Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort» nous dit le dicton. C’est un peu vrai et c’est certainement une façon de positiver ce qui nous arrive !
Car, finalement, quel choix avons-nous ? La vie est ainsi faite qu’elle amène à tous son lot de bonnes et mauvaises surprises. Il y en a de très bonnes et de très mauvaises. Ce sont ces dernières qui sont les plus dures à dépasser ! Mais si nous reprenons la métaphore d’Aïvanhov, l’alpiniste a un but : celui d’atteindre le sommet. Pour cela il doit faire preuve d’adresse, d’endurance et -bien sûr- de courage. Mais il ne perd jamais son but de vue : ce sommet qui l’attire, tout là-haut, plus près des nuages …
Tout au long de son ascension il rencontre aussi, comme dans la vie, des bonnes et mauvaise surprises. Parfois la roche lui offre des prises faciles, un peu comme un escalier, d’autres fois elle est glissante, coupante, d’une inclinaison dangereuse. Parfois aussi il rencontre des petits plateaux où il peut s’arrêter pour manger ou boire, pour «souffler» un peu !
Dans la vie, c’est pareil. Il y a des périodes toutes douces, d’autres où il faut se battre, d’autres encore très difficiles. Je n’énumérerai pas ici tout ce qui peut nous arriver de bon et moins bon dans une vie ! Nous avons tous eu nos expériences …

Belle essai Chantal tous jours pensée active et de l’imagination ainsi que je vois ici que vous répéter le mythe de Sisyphe dans les puits philosophe Camus histoire française existentielle qui luttent dans cette vie dans tous les sens du sens de lui glisser un rocher plus gros que les capacités physiques, cependant, est de tendre la main à haute même pas rouler . Après quelques besoins profonds philosophiques et intellectuelles pour être de grands espoirs
…de même l’histoire de “l’âne au fond du puits”…
…”chacun de tes ennuis est une pierre qui te permet de progresser….”
la conclusion est résumée en cinq règles simples…pour être heureux(se):
1/ Libère ton coeur de la Haine
2/ Libère ton esprit des inquiétudes
3/ Vis simplement
4/ Donne plus
5/ Attends moins